Lilas

Syringa vulgaris

Leur tactique était simple. […], elles repartaient vers le nord-est et roulaient assez longtemps pour trouver des arbustes remplis de bourgeons sur le point de s’ouvrir. Là, elles attendaient patiemment que les fleurons des thyrses s’ouvrent, car c’est au moment de l’éclosion que le parfum du lilas est le plus suave.

Éric Dupont, La route du lilas.

Lecture du texte par Stéphanie Posthumus